vestiges de la 2de G.....

le camps de rivesaltes.
et oui dans le sud aussi. Helas!

sympa les photos, cela fais ressortir des souvenir historique.
Je connais ce lieu y etant deja allé plus jeune.
ça fais réflechir

la 1 pour moi
y en a chez vous aussi. Hélas comme tu dis..

Patrice a écrit:

La 1 pour moi, la 2 est bien pensée en n&b mais bien trop contrastée, peut être pour faire ressortir ces heures sombres de notre histoire

Ta remarque est très juste, en fait elle me suggère l'idée que les deux photos sont "à l"envers", je m'explique :
C'est la 1 qui devrait être en format paysage et N&B, et la 2 en format portrait et couleurs, en ne montrant plus que les barbelés sur un fond très flouté.
Allez, les deux en N&B vue le sujet et l'époque.
A ton avis?

voilou, la une ne donnait rien en portrait.

Patrice a écrit:

Ouais, je préfère la dernière en n&b

+1

maintenant je préfère aussi la N&B
+1

Je reviens voir ta dernière version en N&B, tout à l'heure l'émotion était trop forte pour que je puisse écrire un mot.
Je retrouve là toute la souffrance et la gravité du regard de mon grand-père maternel quand il me racontait son passage au camp d'Argelès où il a bien faillit mourrir de dysenterie et des mauvais traitements comme quelques milliers d'autres réfugiés de la guerre civile d'Espagne
C'était entre Février 1939 et novembre 1942 et les Nazis n'étaient pas encore passés par là. Paradoxalement l'invasion de la zone libre sona le glas de ces camps, puisque les derniers prisonniers restant allèrent rejoindre directement les camps de Tréblinkà et Mathausen entre autres.
Le devoir de mémoire nous incombe à tous, merci de nous le rappeler.

des steles ont ete erigées en memoires aux nombreuses personnes qui sont parties dans les camps d'extermination. il y a eu aussi les espagnols parqués ( et le mot est voulu) sous le regime franquiste.

j'ai toujours pensé que ce camps etait innaccessible, terrain militaire, je n'avais jamais franchi les barbelés.
c'est avec une sensation bizarre et lourde que je les ai approchés, sans vraiment en franchir les barrieres.
aujourd'hui il ne reste pas grand chose que la guarrigue et des ruines en face desquelles se dresse des eoliennes.
je ne veux pas faire de demagogie et ce postevous parrait peu etre pompeux, mais j'ai vraiment eu la gorge serrée, et j'y retournerai.